A lire sur: http://www.businessmobile.fr/actualites/la-conversion-en-4g-des-frequences-utilisees-pour-la-2g-a-l-etude-39774844.htm#EREC-103
Réglementation - L'Arcep, le régulateur des télécoms, vient de lancer une consultation publique sur la question. La réutilisation de ces fréquences permettrait d'accélérer le déploiement du très haut débit mobile.
On le sait, fin 2011, l'Arcep a distribué les licences 4G s aux opérateurs après une série d'enchères. Deux types de sésames ont été distribuées : dans la fréquence des 2,6 Ghz (Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR en ont obtenu une) et dans les 800 Mhz, les fameuses 'fréquences en or' où Free Mobile n'a rien obtenu.
Suffisant pour couvrir la demande ? Pas si sûr. Avec l'explosion de la consommation data (risque d'engorgement) et surtout le problème récurrent de l'installation de nouvelles antennes dans les grandes villes comme Paris, certains opérateurs comme Bouygues Telecom plaident pour la conversion en 4G des fréquences de 1800 Mhz actuellement utilisées pour la 2G.
Levée de la restriction au GSM
Moins qualitative que le 800 Mhz, cette bande est néanmoins plus efficace que les 2,6 Ghz.
L'appel a été entendu puisque l'Arcep, l'autorité de régulation, vient d'annoncer l'ouverture d'une consultation publique sur la question suite à une demande formelle de Bouygues Telecom faite en juillet dernier. Il s'agit de savoir si les fréquences de la 2G peuvent être utilisées à d'autres fins, notamment pour faire passer la 4G.
Rappelons que pour le moment, les 1800 Mhz sont exclusivement réservés au GSM.
L'Arcep précise que "dans un délai de huit mois à compter de la réception de cette demande, l'Autorité notifie au demandeur la conclusion de son réexamen ainsi que, le cas échéant, les nouvelles conditions d'autorisation qu'elle envisage pour l'utilisation des fréquences. A cet égard, l'Autorité est tenue de prendre les mesures appropriées afin que soient respectés le principe d'égalité entre opérateurs et les conditions d'une concurrence effective".
Des travaux préparatoires sont d'ores et déjà menés en concertation avec les acteurs, notamment par le biais d'auditions des opérateurs mobiles. La consultation publique s'achèvera le 28 septembre prochain.
Réglementation - L'Arcep, le régulateur des télécoms, vient de lancer une consultation publique sur la question. La réutilisation de ces fréquences permettrait d'accélérer le déploiement du très haut débit mobile.
On le sait, fin 2011, l'Arcep a distribué les licences 4G s aux opérateurs après une série d'enchères. Deux types de sésames ont été distribuées : dans la fréquence des 2,6 Ghz (Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR en ont obtenu une) et dans les 800 Mhz, les fameuses 'fréquences en or' où Free Mobile n'a rien obtenu.
Suffisant pour couvrir la demande ? Pas si sûr. Avec l'explosion de la consommation data (risque d'engorgement) et surtout le problème récurrent de l'installation de nouvelles antennes dans les grandes villes comme Paris, certains opérateurs comme Bouygues Telecom plaident pour la conversion en 4G des fréquences de 1800 Mhz actuellement utilisées pour la 2G.
Levée de la restriction au GSM
Moins qualitative que le 800 Mhz, cette bande est néanmoins plus efficace que les 2,6 Ghz.
L'appel a été entendu puisque l'Arcep, l'autorité de régulation, vient d'annoncer l'ouverture d'une consultation publique sur la question suite à une demande formelle de Bouygues Telecom faite en juillet dernier. Il s'agit de savoir si les fréquences de la 2G peuvent être utilisées à d'autres fins, notamment pour faire passer la 4G.
Rappelons que pour le moment, les 1800 Mhz sont exclusivement réservés au GSM.
L'Arcep précise que "dans un délai de huit mois à compter de la réception de cette demande, l'Autorité notifie au demandeur la conclusion de son réexamen ainsi que, le cas échéant, les nouvelles conditions d'autorisation qu'elle envisage pour l'utilisation des fréquences. A cet égard, l'Autorité est tenue de prendre les mesures appropriées afin que soient respectés le principe d'égalité entre opérateurs et les conditions d'une concurrence effective".
Des travaux préparatoires sont d'ores et déjà menés en concertation avec les acteurs, notamment par le biais d'auditions des opérateurs mobiles. La consultation publique s'achèvera le 28 septembre prochain.
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