A lire sur: http://www.informatiquenews.fr/le-mobile-en-passe-de-prendre-la-place-du-pc-7524
le
C’est l’impression qui domine en cette fin d’année 2013. Sous forme de tablette ou de smartphone, il permet de répondre à la plupart des fonctions de consultations permises par le PC.
Pour reprendre l’un des articles de ce mois : « Il est arrivé subrepticement sous la forme d’un téléphone cellulaire. Au terme d’une évolution technique, il s’est transformé en smartphone et est devenu l’équipement principal d’accès aux informations ». D’ailleurs, les derniers chiffres du Gartner font état d’une baisse de 8, 6 % des ventes de PC ces 3 derniers mois comparé à l’année dernière. Les consommateurs continuent donc de se tourner vers les tablettes et les Smartphones au détriment des PC et des ordinateurs portables.
Pour reprendre l’un des articles de ce mois : « Il est arrivé subrepticement sous la forme d’un téléphone cellulaire. Au terme d’une évolution technique, il s’est transformé en smartphone et est devenu l’équipement principal d’accès aux informations ». D’ailleurs, les derniers chiffres du Gartner font état d’une baisse de 8, 6 % des ventes de PC ces 3 derniers mois comparé à l’année dernière. Les consommateurs continuent donc de se tourner vers les tablettes et les Smartphones au détriment des PC et des ordinateurs portables.
Une évolution notable
Bien entendu, au bureau, le PC ne va pas être totalement remplacé. Mais la puissance et les fonctionnalités offertes par les appareils mobiles d’aujourd’hui, et la volonté des entreprises d’adhérer au mouvement du BYOD (Bring Your Own Device), sont telles que les utilisateurs sont de plus en plus nombreux à utiliser ce type de périphériques, y compris pour travailler.
Les ventes de tablettes auront augmenté de 70 % cette année et les Smartphones devraient, selon toujours le Gartner, dépasser les 2 milliards d’unités en 2017. Déjà, l’année 2013 restera comme celle d’une véritable explosion des smartphones – on a une croissance de 40 % entre 2013 et 2012 – et dans ce bouleversement, c’est Androïd le grand gagnant. Le système d’exploitation de Google a dépassé au troisième trimestre les 80 % de parts de marché. En un an, l’OS de Google est devenu peu à peu l’équivalent dans le monde des smartphones de ce qu’était Windows dans le monde des PC. Windows Phone a fait de gros progrès mais reste un très distant troisième, loin d’Apple et son IOS, avec à peine 4 % du marché.
Byod ou Cyod ?
Certainement le mot le plus répété dans les conférences informatiques cette année, le Byod, « le bring your own devise », le fait d’utiliser son portable personnel au lieu du matériel de l’entreprise aura été le Buzz. Dangereux du point de vue sécurité, le phénomène symbolise la part grandissante des habitudes de l’informatique personnelle, simple et ouverte. Une situation qui peut devenir conflictuelle face à un service informatique peu enclin à remettre en cause ses procédures liées à la sécurité. BYOD serait en train de mourir et de céder la place à un modèle intermédiaire et moins ambitieux que le Gartner baptise CYOD (Choose your own device). Dans cette approche, les utilisateurs sélectionnent des matériels dont ils souhaitent disposer dans une liste définie par l’entreprise.
Byod ou Cyod ?
Certainement le mot le plus répété dans les conférences informatiques cette année, le Byod, « le bring your own devise », le fait d’utiliser son portable personnel au lieu du matériel de l’entreprise aura été le Buzz. Dangereux du point de vue sécurité, le phénomène symbolise la part grandissante des habitudes de l’informatique personnelle, simple et ouverte. Une situation qui peut devenir conflictuelle face à un service informatique peu enclin à remettre en cause ses procédures liées à la sécurité. BYOD serait en train de mourir et de céder la place à un modèle intermédiaire et moins ambitieux que le Gartner baptise CYOD (Choose your own device). Dans cette approche, les utilisateurs sélectionnent des matériels dont ils souhaitent disposer dans une liste définie par l’entreprise.
Autre évènement phare de 2013, l’arrivée de la 4G
Celle-ci offre, selon nos experts, aux opérateurs une réelle opportunité d’adapter et d’optimiser leurs modèles à condition que leurs réseaux soient conçus efficacement. Afin d’améliorer leur relation client et d’augmenter l’ARPU (le chiffre d’affaire par client- ce que l’on vous prélève sur votre compte en banque), les fournisseurs de services doivent mettre la priorité sur les applications les plus élaborées.
Une nouvelle génération d’applications
Dans ce domaine, on retiendra la multiplication des applications qui tirent profit du NFC, le Near Field communication, le système de communication sans contact que l’on connaît déjà avec les cartes sans contacts ( le pass navigo de la Ratp). Celui-ci, pour entrer un peu dans la technique, peut fonctionner selon trois modes : le mode lecteur « TAG Action »,
le mode avec échange d’information entre 2 Mobiles ou entre un Mobile et un Equipement, dit «Peer to Peer »
et enfin, le mode émulation de carte où un Mobile NFC peut remplacer une carte à puce.
Mais, si à la fin de l’année 2013, 20 millions de cartes, soit près d’un tiers du parc, sont dotées d’une puce NFC, sur le terrain, les premières applications sont encore discrètes et on est très loin du raz de marée espéré par les fabricants.
Côté commerçant, tous les grands distributeurs auront bientôt des terminaux acceptant les cartes sans contact de plus en plus sécurisées. Pour les banques qui ont compris que leurs futurs clients seraient sans cesse en déplacement ou sur le Web, le m-commerce (commerce mobile) auquel participe le « sans contact », est devenu une nécessité. Mais pour les utilisateurs et les commerçants, l’adoption est lente car l’intérêt n’est pas flagrant et chacun perçoit que ce sont surtout les banques qui ont le plus à gagner dans cette évolution.
Ce sentiment de décalage entre les vrais usages et la réalité est flagrant dan le cas de la 4G qui est surtout promue pour des accès « instantanés » à Internet.
Au-delà des premiers fans, les premiers utilisateurs, un peu septiques, ont le sentiment qu’on va leur tondre la laine sur le dos.
Les « 4 griefs » de la 4G tiennent pour le moment à la faible couverture des différents opérateurs, à la meilleure vitesse d’accès à internet, survendue, à la faible vie des batteries et aux éternelles interrogations sur les radiations électromagnétiques qui transformeraient nos villes électroniques en d’immenses fours à micro-ondes.
Avant que ses neurones ne soient cuits à point, l’équipe d’InformatiqueNews en profite pour vous souhaiter déjà une année 2014, plus enthousiasmante encore que 2013 .
Une année 2014 « plus mobile » pour plus de liberté et d’efficacité.
Mais, si à la fin de l’année 2013, 20 millions de cartes, soit près d’un tiers du parc, sont dotées d’une puce NFC, sur le terrain, les premières applications sont encore discrètes et on est très loin du raz de marée espéré par les fabricants.
Côté commerçant, tous les grands distributeurs auront bientôt des terminaux acceptant les cartes sans contact de plus en plus sécurisées. Pour les banques qui ont compris que leurs futurs clients seraient sans cesse en déplacement ou sur le Web, le m-commerce (commerce mobile) auquel participe le « sans contact », est devenu une nécessité. Mais pour les utilisateurs et les commerçants, l’adoption est lente car l’intérêt n’est pas flagrant et chacun perçoit que ce sont surtout les banques qui ont le plus à gagner dans cette évolution.
Ce sentiment de décalage entre les vrais usages et la réalité est flagrant dan le cas de la 4G qui est surtout promue pour des accès « instantanés » à Internet.
Au-delà des premiers fans, les premiers utilisateurs, un peu septiques, ont le sentiment qu’on va leur tondre la laine sur le dos.
Les « 4 griefs » de la 4G tiennent pour le moment à la faible couverture des différents opérateurs, à la meilleure vitesse d’accès à internet, survendue, à la faible vie des batteries et aux éternelles interrogations sur les radiations électromagnétiques qui transformeraient nos villes électroniques en d’immenses fours à micro-ondes.
Avant que ses neurones ne soient cuits à point, l’équipe d’InformatiqueNews en profite pour vous souhaiter déjà une année 2014, plus enthousiasmante encore que 2013 .
Une année 2014 « plus mobile » pour plus de liberté et d’efficacité.
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