A lire sur: http://pro.clubic.com/legislation-loi-internet/hadopi/actualite-606300-hadopi-pur.html
La Hadopi déploie à nouveau ses efforts afin de mettre en avant l'offre légale de contenus. Dans ce cadre, elle annonce le lancement d'un nouveau site recensant des plateformes « pouvant être regardées comme étant légales » et enterre ainsi son label PUR.
En juin 2011, la Hadopi annonçait le lancement du label PUR (Promotion des usages responsables) afin de mettre un coup de projecteur sur certaines offres légales de contenus vidéo, musique ou de livres numériques. Ce dernier n'a désormais plus vocation à être utilisé et sera remplacé dès ce mercredi 11 décembre par un nouveau moyen de centraliser ce type d'offres.
offrelegale.fr reprend désormais ces mêmes plateformes labellisées (entre 50 et 70), celles-ci apparaissant en premier dans les résultats de recherche du moteur interne du site. Un nouveau logo « Offre légale Hadopi » est également présenté à côté du service, afin de le mettre en valeur. En outre, le site recense plus de 300 plateformes de musique, VOD, livres numériques, jeux vidéo, photographie, crowdfunding « pouvant être regardées comme étant légales ».
Pour Eric Walter, secrétaire général de la Hadopi, cette plateforme est le fruit du « croisement entre la labélisation et le résultat de l'observation des sites disponibles en France ». Frédéric Nassar, directeur délégué à la diffusion des oeuvres précise : « des indices nous permettent d'établir de la légalité d'une offre en la soumettant par exemple au rapport de transparence de Google. De même, si le service a reçu des demandes de déréférencement, il sera écarté ».
La Hadopi indique avoir réalisé un « travail d'observation » des offres culturelles concernées réalisé avec les professionnels du secteur comme le Centre national du Livre, l'Observatoire de la musique, l'Association française du jeu vidéo ou le CNC. Des critères comme la présence de mentions légales, d'une forme juridique ou l'accès à un paiement sécurisé ont été pris en compte pour recenser un service en particulier.
La haute autorité se donne 3 mois pour recenser les avis des internautes au sujet de son site, mais également des demandes de recensement de nouvelles plateformes, avant d'améliorer son service. De nouvelles fonctionnalités pourraient arriver à l'avenir, le collège de la Hadopi menant actuellement une réflexion « qui scannerait toute l'offre légale », précise Eric Walter. L'idée de pouvoir directement accéder à une oeuvre et non pas à la plateforme l'hébergeant. « En général, un client cherche une marque et non pas le magasin qui pourrait vendre la marque », ajoute-t-il.
Si chacun jugera de l'intérêt d'un tel recensement de l'offre légale, la plateforme a vocation à être améliorée. offrelegale.fr ne se voit pas d'ailleurs comme une porte d'entrée pour certaines plateformes mais comme un moyen de les mettre en avant.
En juin 2011, la Hadopi annonçait le lancement du label PUR (Promotion des usages responsables) afin de mettre un coup de projecteur sur certaines offres légales de contenus vidéo, musique ou de livres numériques. Ce dernier n'a désormais plus vocation à être utilisé et sera remplacé dès ce mercredi 11 décembre par un nouveau moyen de centraliser ce type d'offres.
offrelegale.fr reprend désormais ces mêmes plateformes labellisées (entre 50 et 70), celles-ci apparaissant en premier dans les résultats de recherche du moteur interne du site. Un nouveau logo « Offre légale Hadopi » est également présenté à côté du service, afin de le mettre en valeur. En outre, le site recense plus de 300 plateformes de musique, VOD, livres numériques, jeux vidéo, photographie, crowdfunding « pouvant être regardées comme étant légales ».
Pour Eric Walter, secrétaire général de la Hadopi, cette plateforme est le fruit du « croisement entre la labélisation et le résultat de l'observation des sites disponibles en France ». Frédéric Nassar, directeur délégué à la diffusion des oeuvres précise : « des indices nous permettent d'établir de la légalité d'une offre en la soumettant par exemple au rapport de transparence de Google. De même, si le service a reçu des demandes de déréférencement, il sera écarté ».
La Hadopi indique avoir réalisé un « travail d'observation » des offres culturelles concernées réalisé avec les professionnels du secteur comme le Centre national du Livre, l'Observatoire de la musique, l'Association française du jeu vidéo ou le CNC. Des critères comme la présence de mentions légales, d'une forme juridique ou l'accès à un paiement sécurisé ont été pris en compte pour recenser un service en particulier.
La haute autorité se donne 3 mois pour recenser les avis des internautes au sujet de son site, mais également des demandes de recensement de nouvelles plateformes, avant d'améliorer son service. De nouvelles fonctionnalités pourraient arriver à l'avenir, le collège de la Hadopi menant actuellement une réflexion « qui scannerait toute l'offre légale », précise Eric Walter. L'idée de pouvoir directement accéder à une oeuvre et non pas à la plateforme l'hébergeant. « En général, un client cherche une marque et non pas le magasin qui pourrait vendre la marque », ajoute-t-il.
Si chacun jugera de l'intérêt d'un tel recensement de l'offre légale, la plateforme a vocation à être améliorée. offrelegale.fr ne se voit pas d'ailleurs comme une porte d'entrée pour certaines plateformes mais comme un moyen de les mettre en avant.
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