A lire sur: http://www.clubic.com/reseau-mobile/actualite-609180-5g-course-lancee.html
La Commission européenne officialise le consortium 5G PPP. L'objectif : être leader sur le réseau qui succèdera à l'actuelle 4G.
La 4G arrive juste en France que l'Union européenne entend bien se positionner en tant que « pionnière de l'industrie de la 5G », commel'expliquait en mai dernier Neelie Kroes, commissaire européenne chargée de la société numérique.
C'est pourquoi elle a créé le 5GPPP, pour partenariat public-privé sur la 5G. La mission de ce consortium : élaborer des standards et être à l'origine de brevets qui apporteront un avantage concurrentiel à l'Europe. En utilisant l'agrégation de plusieurs bandes de fréquences disjointes et en multipliant les relais d'antennes, l'ambition est d'atteindre des débits proches du gigabit par seconde.
Ce partenariat public-privé recevra un budget de 700 millions d'euros sur six ans (de 2014 à 2020), comme ce fut le cas sur la 4G entre 2007 et 2013. Alcatel-Lucent, Ericsson, Huawei, mais aussi Orange, Telecom Italia, Intel ou Thalès font partie de ce 5G PPP. L'équipementier télécoms NSN (ex Nokia Solutions and Networks) préside ce consortium.
Cette initiative arrive alors que l'Europe, pourtant à la pointe au moment de l'avènement de la 3G, a clairement loupé le virage de la 4G. Elle semble décidée à ne pas renouveler cet échec pour la prochaine génération de réseau, alors que la concurrence fourbit déjà ses armes : NTT Docomo, premier opérateur de téléphonie mobile au japon, avait déjà exposé au dernier CEATEC sa vision de la 5G, avec un objectif à horizon 2020. Date que vise également Samsung, qui a réalisé avec succès des tests lui ayant permis d'atteindre un débit de 1 Gbps entre deux terminaux distants de deux kilomètres, à une fréquence de 28 GHz.
La 4G arrive juste en France que l'Union européenne entend bien se positionner en tant que « pionnière de l'industrie de la 5G », commel'expliquait en mai dernier Neelie Kroes, commissaire européenne chargée de la société numérique.
C'est pourquoi elle a créé le 5GPPP, pour partenariat public-privé sur la 5G. La mission de ce consortium : élaborer des standards et être à l'origine de brevets qui apporteront un avantage concurrentiel à l'Europe. En utilisant l'agrégation de plusieurs bandes de fréquences disjointes et en multipliant les relais d'antennes, l'ambition est d'atteindre des débits proches du gigabit par seconde.
Ce partenariat public-privé recevra un budget de 700 millions d'euros sur six ans (de 2014 à 2020), comme ce fut le cas sur la 4G entre 2007 et 2013. Alcatel-Lucent, Ericsson, Huawei, mais aussi Orange, Telecom Italia, Intel ou Thalès font partie de ce 5G PPP. L'équipementier télécoms NSN (ex Nokia Solutions and Networks) préside ce consortium.
Cette initiative arrive alors que l'Europe, pourtant à la pointe au moment de l'avènement de la 3G, a clairement loupé le virage de la 4G. Elle semble décidée à ne pas renouveler cet échec pour la prochaine génération de réseau, alors que la concurrence fourbit déjà ses armes : NTT Docomo, premier opérateur de téléphonie mobile au japon, avait déjà exposé au dernier CEATEC sa vision de la 5G, avec un objectif à horizon 2020. Date que vise également Samsung, qui a réalisé avec succès des tests lui ayant permis d'atteindre un débit de 1 Gbps entre deux terminaux distants de deux kilomètres, à une fréquence de 28 GHz.
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